Les yeux de la nuit…
Ils ont le charme qui me hante
Dans les nuits noires et profondes
Berçant de leurs lumières mes songes
De ces tourments berçant l’absence
Je me laissais guider vers des plaines perdues
Quand ils se posaient quand venait le soir
Dans les abysses d’espoir, je les ai aperçus
Divaguant aux profondeurs de ma mémoire
Je laissais hypnotiser, dériver mon cœur
Vers ces rivages aux lisières de ses lèvres
Cherchant dans mes nuits ternes et blêmes
La fraicheur de ses mirettes de bonheur
Malgré cette agitation dans mes soupirs
Je sentais se poser sur mon antre, ses mains
Berçant tendrement le bord de mes souvenirs
Et la joie immense, me submerger de désirs
Dans les silences de mes pensées amnésiques
Je n’étais qu’un pantin, je n’étais qu’une ombre
Comme diriger à l’aube voilant cette nuit
Je les suivais caressée par la grande pénombre
Calypso Poets ©Aout 2013
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