Brouillard,
Je naviguais seule dans le brouillard
Recherchant à chaque coin mes idées noires
Sans âme, ni respiration, ni courage et espoir
Au détriment de ces pensées dans ma mémoire
J’errais en silence de brume en brume
Recherchant toute l’air qui me consume
Dans les quatre coins de mes pensées
Essayant désespérément de les retrouvées
Elles se cognent sur les murs et l’asphalte
Pour qu’elles redeviennent claires et calmes
Écorchées par la tourmente qui me fruste
Sur cette route sombre que j’écume
Ces rêves dans mes cauchemars se cachent
Fais de marbre, de pierre et de glace
Se battent contre la clarté de mes envies
Malgré cette existence comme un fruit pourrit
Calypso Poets ©Février 2013
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